marathon de Cheverny 06/04/08

Sujet: marathon de Cheverny 06/04/08 Mer 14 Nov - 2:50

qui connait le marathon de cheverny (41) prevu le 06/04? je compte y aller car ca semble plat, pas trop gros et a une bonne date. merci de vos infos

Sujet: Re: marathon de Cheverny 06/04/08 Ven 15 Fév - 1:54

salut

je viens juste de poster mon inscription ce matin pour Cheverny dans le 41 le 06/04 marathon de Cheverny 06/04/08 Icon_biggrin

. ca y est ca devient serieux. je tente de m entrainer aussi serieusement mais faire du fractionné seul c dur et s entrainer le soir c aussi chiant. marathon de Cheverny 06/04/08 Icon_frown

mais les jours rallongent heureusement. marathon de Cheverny 06/04/08 Icon_tongue

je ne sais pas si je vais reussir a suivre la preparation pour les 3h. dommage aussi de ne pas avoir un semi dans le coin + tot que celui de metz par rapport a cheverny. pas grave tout ca. faut que je perde 4kgs et que je me conditionne mentalement. c aussi important. en tous cas je suis impatient de courir cette course si prometteuse. par contre je ne pense pas etre de la fete la veille et plutot loger en famille a Tours.
qui connait et qui suit?
a+

Sujet: Re: marathon de Cheverny 06/04/08 Lun 21 Avr - 1:51

MARATHON DE CHEVERNY 06/04/2008 (7^ème édition)

Mon 3^ème marathon : objectif – de 3 heures

Cette année encore pour le choix de mon marathon (toujours au printemps pour des questions de météo lors de la préparation et de la course), j’ai regardé le calendrier, l’atlas, discuté avec d’autres marathoniens et été surfer sur des forums spécialisés en course à pied. Souhaitant encore partir à mon rythme, j’ai opté pour un marathon qui ne soit pas trop gros (sans sas de départ, même si je pourrais partir avec les 3h15’). Ayant eu de bon échos sur celui de Cheverny, un parcours assez plat (145m de dénivelé positif cumulé), à 78kms de chez mes parents et à une date qui donne plus de chances de ne pas « crever » de chaud, j’ai donc opté pour celui là.

Ma copine m’accompagnant, nous avons pris le train jusqu’à Tours, où nous sommes arrivés dès le vendredi midi, assez crevés par la semaine écoulée et un réveil très matinal (pour arriver à Tours à midi faut se lever au Luxembourg un peu avant 6h…).

Nous avons donc pris soin de bien dormir les deux nuits précédant la course car c’est très important pour être en pleine possession de ses moyens le jour J.

Concernant les repas avant la course, ma mère a été très gentiment aux petits soins comme d’habitude. Je n’ai pas chamboulé mes habitudes (à part des huîtres samedi midi) et ai constitué des réserves et rétabli une bonne digestion avec des glucides telles que riz et pâtes la veille et au petit déjeuner le jour de la course.

Réveil prévu le dimanche à 5h30. Je peine à me sortir du lit à 5h45. Mon père (qui a la gentillesse de me conduire) est déjà debout. Je n’ai pas super bien dormi comme à chaque veille de marathon, mais avec 7h de sommeil c’est mieux que la moyenne ces derniers temps. On a prévu de partir pour 6h45 comme la course commence à 9h, qu’il y a quasiment 1h de route et une attente difficile à estimer pour récupérer le dossard. Finalement, je suis enfin prêt pour partir juste avant 7h.

On prend la route et au fur et à mesure que l’on se rapproche la météo se dégrade. Ils avaient pourtant prévu ces derniers jours un temps plutôt sec et entre 6 et 14°C. En fait, il fait 2°C et il tombe un mélange de pluie et de grêle. Ça ne me ravit pas franchement et en arrivant sur place vers 7h45 je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangé pendant 3h.

Car mon objectif est de terminer en – de 3h. Même si un entrainement sérieux, mais un peu comme ça vient (mélange de plans de 3h et 2h50 ainsi que de contraintes professionnelles et personnelles), et des perfs récentes à la hauteur des années précédentes me laissent de l’espoir, rien n’est joué.

Sur place il y a de la place sur le parking du château (dont le parc reste fermé jusqu’au départ de la course). On sort les parapluies et nous dirigeons vers le bureau de retrait des dossards en faisant une petite halte pour faire pipi et demander notre chemin. Il me semble reconnaître « cagouille » (un membre du site « courir le monde » avec lequel j’ai RDV à 8h devant les grilles du château) en la personne à qui je m’adresse, mais j’ai un doute et n’insiste pas. On se dirige vers le village marathon et le retrait du dossard se passe en un éclair. On repart aussi avec un petit panier en osier comprenant la bouteille de Cheverny promise et le traditionnel T-shirt (non technique malheureusement, ce qui fait que je n’en ferai aucun usage). Un petit plus sympa également est le descriptif de la composition des ravitaillements : il dit ce qu’on trouve systématiquement et dans quel ordre sur la table. C’est vraiment pratique pour s’organiser.

Retour vers la voiture. Il est 8h passé et on recroise « cagouille » avec Steph J. sur le parking. Ils ont déjà fait à 2 la photo du RDV CLM. Là, on fait connaissance et on se confirme avec Steph qu’on va sans doute courir un bout ensemble puisqu’on a le même objectif de faire – de 3h. La météo s’est arrangée un peu entre temps et on s’interroge sur la tenue à porter. Finalement, chacun partirait avec 2 T-shirts. Mon père souhaite sortir sa voiture du parking car il doit aller chercher + tard ma mère au train à Blois (pas très loin). Du coup, il verra les 5 premiers kms et ensuite on se reverra pour l’entame de la 2^ème et dernière grande boucle.

On se gare pas très loin dans le village et je me prépare les pieds, les tétons (vaseline + pansements) et les gels + pilules anti-crampes pour la course. J’en prends déjà une et un peu de miel avant de trottiner dans le village (assez joli).

Par hasard j’en viens à discuter avec un gars qui veut faire son 1^er marathon en 3h30. Je repère un peu le départ, l’arrivée et surveille ma montre pour ne pas me laisser surprendre. Un dernier pipi de rigueur puis je retrouve mon père pour lui donner ma veste et finalement je ne garde qu’un T-shirt à manche courte car il fait meilleur (pas trop froid et le ciel n’est plus menaçant). C’est presque une météo idéale pour une telle épreuve. Par contre, j’ai encore une fois fait un footing d’échauffement un peu court avec 11’ seulement. Mais il est temps de suivre la foule qui se dirige vers la ligne départ, dans l’allée principale devant le château. C’est un cadre assez joli, dans le style de la région. Ce château ressemble bien à celui de Moulinsart, dans Tintin. C’est d’ailleurs une thématique discrète de cet événement. Je me faufile vers le drapeau du meneur d’allure en 3h. Un certain Manu à qui je demande son temps de passage prévu au semi. En fait, tous les temps des 5kms sont écrits sur son petit sac à dos (et en l’occurrence vers 1h29’30’’, ce qui me va). Plus que quelques instants « et c’est parti (pour le show) » comme dit la chanson que les organisateurs passent pour l’occasion.

Le décompte à rebours est à peine audible. Les premiers s’élancent et quelques secondes après c’est à mon tour de franchir la ligne de départ. L’allée est gravillonnée, mais ce n’est pas gênant. L’allure est assez tranquille. Une première petite boucle de 5kms se fait dans et autour de Cheverny. Le 1^er km est passé en 4’08’’. Le rythme s’ajuste progressivement. Je suis juste tracassé par ma chaussette de contention droite qui bizarrement est tombée à ma cheville. Je dois m’arrêter deux secondes pour la remettre. Du coup, j’en ai loupé de vérifier le 2^ème km, mais on me répond qu’on a dû le passer en 8’30’’ environ. Ça me va car 4’15’’ est la moyenne de mon objectif. Tout va bien. Je suis rassuré par mes sensations et mes temps de passage. Le 4^ème km est passé en 16’55’’ (soit avec 5’’ d’avance). Cette année je suis un peu en retrait du groupe des 3h car j’amortis un peu leur rythme légèrement rapide en ce début de course. D’autres avec qui je ferai une partie de la course se font la même réflexion. Je sais que l’an passé, à cette même course, quelques meneurs d’allure n’avaient pas été très réguliers (mais à leur décharge ça n’est sans doute pas évidant). Avant de bifurquer près du château pour la 1^ère grande boucle, je retrouve mon père qui filme un peu en hauteur. Maintenant on attaque la partie boisée du parcours. Je réajuste ma chaussette gauche au 1^er ravitaillement et je reviens sur Steph J. vers le 6^ème km que l’on passe en 25’29’’ (soit avec 1’’ d’avance). Déjà quelques uns s’arrêtent pour pisser (ce que je m’interdis et qui ne m’a jamais été nécessaire jusque là heureusement). On passe à côté du golf de la Rousselière, puis au 7^ème km en 29’47’’ (soit 2’’ en retard). Ça monte progressivement depuis le 4^èmekm. On est en partie sur des « chemins blancs » d’une terre qui ne se transforme pas en boue, même humide. Le chemin est bien praticable. Le groupe des 3h est toujours un peu devant moi, et Steph J. avec lui apparemment. Je passe le 8^ème km en 34’08’’ (soit avec 8’’ de retard, à cause de cette montée) en me disant que s’est bon et qu’il faut que je maintienne, voire réduise le retard sur le groupe à la faveur de la descente du 11^ème au 15^ème km. Un duo de musiciens celtiques, posté au virage après le ravitaillement du 10^ème km, vient rompre l’isolement en cet endroit reculé du parcours. Je ne me souviens plus de mes temps exacts au 9^ème et 10^ème km, mais au 11^ème je passe en 47’04’’, soit avec 19’’ de retard. En fait, la descente est très progressive (comme le reste du parcours). Le prochain temps de référence est celui du 14^ème km en 59’47’’ (moyenne depuis le départ 14,05km/h). J’ai 17’’ de retard sur mon objectif et garde toujours le groupe des 3h en vue, pas très loin devant. Un spectateur apprécie mes chaussettes de contention bien blanches (assez peu communes). Je me sens bien (trop ?) et vais faire les 5kms suivants en 20’55’’ (14,34km/h). Je passe le 19^ème km en 1h20’42’’, soit avec 3’’ d’avance maintenant sur mon objectif et suis sur les talons du groupe des 3h. Je ne sais pas s’ils ont un peu ralenti ou si c’est le fruit de mon accélération. Je cours depuis un moment avec quelques gars, et en passant au 20^ème km en 1h24’47’’ (avec 13’’ d’avance grâce à un dernier km en 4’05’’ !) on commence à se dire que c’est nous qui accélérons un peu trop. On se ravitaille et levons le pied légèrement pour passer le 21^ème km en 1h29’12’’ (plus que 3’’ d’avance avec un dernier km en 4’25’’). J’ai pris ma 2^ème pilule anti-crampes par précaution. De ce côté, ça va pour le moment, mais c’est plutôt pour ne pas être embêté + tard. Le semi est franchi sous un portique enregistrant la puce en 1h29’53’’ à ma montre (1h29’59’’ au chrono officiel, en 110^ème position). Pile dans mes prévisions ! Reste plus qu’à faire aussi bien dans la 2^ème moitié…

Sujet: Re: marathon de Cheverny 06/04/08 Lun 21 Avr - 1:53

2ème semi :

Petite descente en entrant dans le domaine du château. Je me détache un peu des coureurs de mon groupe comme à chaque descente, et ils me reprennent en montée (car je laisse aller en descente et ensuite lève un peu le pied en montée). Déjà quelques coureurs accusent fortement le coup. On repasse devant le château et à sa sortie je retrouve mes parents. Je ne suis pas très loin du groupe des 3h qui s’est à nouveau un peu détaché. On entame la 2^ème grande boucle en passant devant le podium d’animation. Les spectateurs sont bien + nombreux à cet endroit du parcours.

A cet instant de la course j’espère encore pouvoir refaire mon petit retard et arriver en – de 3h. Cela étant on attaque à nouveau la portion montante jusqu’au 29^ème km. On passe le ravitaillement du 25^ème km et j’ai pris comme d’habitude 2 sucres et une bouteille d’eau avec laquelle je me désaltère autant que je m’asperge tête et nuque. Je me dis que j’aurais dû prendre une boisson isotonique. Tant pis, ce sera pour la prochaine fois. On passe le 26^ème km en 1h51’00’’, soit à 30’’ de l’objectif. Les derniers 5 kms ont été courus en 21’48’’ (13,76km/h) au lieu de 21’15’’. C’est encore jouable, mais je commence à m’orienter vers un lot de consolation avec la perspective de battre tout de même mon record de Paris 2006 en 3h05’31’’.

Au 30^ème km les musiciens sont toujours là. Je me ravitaille et prends ma 3^ème pilule anti-crampes. Ca peut être plus que jamais nécessaire. On est arrivé en haut de la côte et en passant en 2h08’50’’ j’ai accumulé 1’20’’ de retard sur mon objectif. Ca devient compromis. Le groupe des 3h s’éloigne de + en + mais je tente de relancer à la faveur de cette descente en pente douce. Même si je ne suis évidemment plus très frais, je ne me sens encore pas trop mal. Pourtant, le retard continue de croître. Au 31^ème km, en 2h13’10’’ il est de 1’25’’. Les derniers 5kms ont été courus en 22’10’’ (13,53km/h) au lieu de 21’15’’. Au 32^ème km, en 2h17’34’’ il est de 1’34’’. Au 33^ème km, en 2h21’56’’ il est de 1’46’’. Les jambes deviennent + lourdes et ça fait kms maintenant que je m’encourage en comptant à rebours les kms restant. Plus que 9. Je n’arrive plus à retenir mes temps de passage kilométrique.

A la sortie de la forêt, on se rapproche du ravitaillement du 35^ème km, dans une longue ligne droite. Je tente de me relancer un peu quand un concurrent me dépasse, mais c’est + facile à dire. Il y a un léger vent, mais ça va. Au bout de cette ligne droite j’ai la surprise de retrouver mes parents. Mon père me dit que le groupe des 3h n’est que 2’ devant moi. C’est mieux que l’an dernier à Sénart à ce stade. Je remonte quelques concurrents progressivement, dont un qui est encouragé par un copain à vélo. C’est interdit, mais on ne peut pas trop leur en vouloir. Tant qu’il n’y en a pas de trop, que ça ne constitue pas un danger, que ça ne gêne aucun coureur et que l’on ne s’abrite pas derrière par exemple, je n’y vois personnellement pas d’inconvénient. Ce ne sont pas les premiers qui sont accompagnés en général.

Après quelques kms arrosés de quelques gouttes dont je ne me plaindrais pas du côté rafraîchissant, on passe au km 38 devant un stand sympathique de spécialités du terroir que je saurais apprécier en d’autres circonstances. Mais je reste concentré sur ma course et prends un dernier ravitaillement + conventionnel (boisson isotonique). On quitte les champs pour revenir vers des zones habitées. Au 39^ème km, en 2h49’20’’, j’ai 3’35’’ de retard. Au 40^ème km, en 2h53’55’’, j’ai couru le dernier km en 4’35’’, les 10 derniers en 45’05’’ (13.3km/h) et possède 3’55’’ de retard. Je résiste autant que je peux et double un peu + que je ne me fais doubler. Quelques rares coureurs marchent à mon passage, sans doute victimes de crampes. En haut de la petite côte du 41^ème km je retrouve ma mère. En 2h58’40’’ à ma montre, j’ai couru le dernier km en 4’45’’ et mon retard est de 4’25’’. J’aimerais bien faire – de 3h04’, mais je ne sais pas en quel temps je vais passer la ligne car je sais que la moyenne des 3h est légèrement supérieure (de 95 centièmes de seconde) à mon temps de référence de 4’15’’/km.

Il ne reste plus qu’un km. Je ne sais pas si je dois accélérer, si je peux accélérer. On retrouve la ligne droite en face du château qu’on avait pris dans l’autre sens au début. Il y a à nouveau + de monde. Certains vous encouragent par votre prénom (plus facile peut être maintenant car ça va – vite et le « peloton » est – dense). C’est sympa, mais cela me surprend. Pourtant, je constaterai en effet qu’il figure bien sur le dossard, même s’il n’est pas écrit très gros.

Un gars doit s’arrêter dans cette ligne droite et peste contre ses crampes. C’est vrai qu’à – d’un km du but c’est rageant. Je découvrirai après dans le forum que c’était Stéphane J. Il arrivera à repartir pour finir à 8’’ de moi.

J’essaie de voir où se trouve l’arrivée pour bien juger quand je peux tenter d’accélérer. Je lance mes dernières forces dans le sprint, double un gars et regarde le chrono : 3h04’19’’ officiel et 3h04’12’’ à ma montre entre les 2 lignes.

Je suis content. Mon état est encore assez correct. Mon père me rejoint sur la ligne d’arrivée. Il a filmé mon arrivée et me félicite. Il me passe très vite ma copine au téléphone qui a dû rester à Tours à cause de sa grossesse. Il l’avait gentiment régulièrement tenue au courant de l’évolution de ma course. Elle aussi regardait sa montre et est contente pour moi, car elle sait que c’était un défi qui me tenait à cœur et que je me suis préparé assez sérieusement pour ça pendant des semaines (11), même si ce n’est pas toujours drôle et qu’à la fin on en a un peu marre et qu’on attend vivement cette course.

J’enfile une veste et vais me ravitailler. J’en profite pour discuter avec un gars sympa (un autre Nicolas) qui vient de finir en 2h50’31’’ et qui m’enverra gentiment son plan d’entraînement. Je ne refuse pas une bonne merguez chaude et vais faire la queue pour me faire masser par le kiné tant qu’il n’y a pas trop de monde. C’est la 1^ère fois (après un marathon) et c’est bien agréable même si ça reste léger afin de ne pas faire de mal à des jambes qui ont déjà subi des micros traumatismes comme il me dit. Il me conseille de m’étirer encore + tout au long de l’année (c’est pourtant ce que j’essaie de faire consciencieusement).

Mon record de 3h05'31’’ lors de mon 1er marathon à Paris est battu. Tintin, les Dupont/d, Haddock et la Castafiore ont été les témoins discrets de cette performance. En faisant mieux que mes 3h07’03’’ de Sénart l’an dernier j’inverse la tendance depuis mes début sur marathon. La barrière des 3h se rapproche et j’espère rapidement enfin la franchir. Pour autant, même si 15j après je me sens mieux que les années précédentes (j’ai l’impression de mieux récupérer), je ne vais pas tenter quoi que ce soit moins d’un mois après. C’est pour ça que je tire un trait sur l’option de faire celui de Sénart le 1^er mai ou Luxembourg le 3 mai, même si le défi pourrait être beau. Je m’en voudrais si ça m’occasionnait une blessure. Il vaut mieux que je me concentre sur la suite de la saison avec des 10kms et des semis avant et après l’été.

Encore merci aux organisateurs pour cette belle course, cette belle médaille (Castafiore courant après Haddock) et (j’espère) ce bon vin de Cheverny.

Je vous recommande de jeter un œil au site http://marathondecheverny.free.fr

Sujet: Re: marathon de Cheverny 06/04/08 Lun 21 Avr - 9:37

Récit intéressant Nicolas Very Happy

, surtout dans ta gestion de l'effort

Sujet: Re: marathon de Cheverny 06/04/08 Mer 23 Avr - 15:01

Merci pour ce récit complet, Nicolas Very Happy

Encore BRAVO et... bon entraînement pour passer sous les 3h qui ne sont plus très loin !

A bientôt

flower

Sujet: Re: marathon de Cheverny 06/04/08

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